Otlet, VirginieKrols, BrentBrentKrolsGoffinet, MarineMarineGoffinet2025-02-042025-02-042023https://dial-mem.test.bib.ucl.ac.be/handle/123456789/33277Contexte : L’orthèse active du bassin est utilisable dans n’importe quel milieu écologique pour l’entraînement de la marche grâce au fait que cette dernière soit portable. Ce protocole expérimental étudie la faisabilité de cet exosquelette dans le but d’améliorer l’efficacité de la marche au sol des personnes atteintes de la maladie de Parkinson d’intensité légère à modérée. Méthode : Huit patients ont suivi un protocole d’entraînement qui, pour chacun d’entre eux, s’est déroulé au total sur huit semaines. Ce dernier a été composé de trois sessions d’évaluation et de douze sessions d’entraînement. Ils ont marché durant huit minutes autour d’un périmètre prédéfini. Les analyses statistiques comparent ensuite l’effet des conditions sur la longueur et la durée de la foulée, la cadence, l’amplitude du mouvement des hanches et l’indice de coût physiologique. Résultats : Les résultats ne montrent aucune différence statistiquement significative ni entre les évaluations, ni entre la première et la dernière session d’entrainement. Conclusion : Les résultats de cette étude ne sont pas suffisants pour encourager l'utilisation de cette orthèse pour l'entraînement à la marche des patients atteints de la maladie de Parkinson.APOParkinsonOrthèserobotiquemarcheportablemaladie de parkinsontext::thesis::master thesisthesis:39418