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Quel(le) est l’échelle / questionnaire le/la plus pertinent(e) dans le cadre de l’autogestion du patient en oncologie?

(2023)

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OBJECTIF : trois échelles traduites en français estimant le degré d'autogestion du patient vis-à-vis de sa santé seront comparées. Il convient d'analyser la corrélation ou l'interchangeabilité entre ces variables afin de déterminer si elles fournissent des informations similaires ou bien différentes. MÉTHODES : les données ont été collectées dans les dossiers de patients atteints d’un cancer récent ou antérieur au sein du service d’oncologie des Cliniques Universitaires Saint-Luc (CUSL) dans le cadre d'une étude expérimental de type rétrospective. Chaque échelle a été soumise à 47 patients. Parmi ceux-ci, il y avait 27 femmes et 20 hommes, âgés entre 21 et 90 ans. Notre choix du patient s’est porté sur le fait qu’il soit capable d’exprimer sa volonté dans la langue française. RÉSULTATS : il existe une interchangeabilité et une corrélation entre : la General Self Efficacy (GSE) versus Moorong Self Efficacy Scale (MSES-FR) et la Moorong Self Efficacy Scale - auto-efficacité interpersonnelle (MSES-FR-AutoEff) versus l’Autonomy Preference Index - sharing decision (API-SHARE). Cependant, aucune autre échelle ne peut être comparée de manière significative entre elles. Par contre, d’autres questionnaires peuvent malgré tout être corrélés significativement tels que : la GSE versus MSES-AutoEff et la MSES-FR versus API-SHARE. CONCLUSION : cette étude a démontré qu’il y a une interchangeabilité entre certaines échelles pour évaluer l’autogestion des patients atteints de cancer, mais que certaines échelles semblent plus appropriées que d’autres. Pour répondre à notre question de recherche, la GSE parait être la plus appropriée en raison de ses nombreux points forts malgré qu'elle ait été validée que dans une population de malades chroniques. En effet, elle affiche une longueur de questionnaire adaptée, une formulation simple qui convient au patient ainsi qu'une capacité à refléter le score ECOG. Il pourrait donc être intéressant qu'une étude soit faites pour vérifier sa validité auprès de la population oncologique.